La palette de Pierre

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Avant-goût de l' "Avant-propos" de "La passion d'Antonin"

Antonin photo couverture

 

 

 

 

 

Avant-goût

de

l'avant-propos

de

 

 

LA PASSION D'ANTONIN

 

 

 

Afin de se faire une idée de ce que recouvre ma romance, tant dans ma démarche initiale que par mes intentions, ainsi que dans la perspective d'une future publication, j'ai rédigé cet avant-propos à votre intention.

 

Encore merci de votre fidèle lecture et à très bientôt, comme d'habitude, pour la suite des aventures de notre cher Antonin...

 

 

 

 

 

 

LA PASSION D’ANTONIN

 

 

AVANT-PROPOS

 

*   *   *

 

 

 

 

À la suite de ma première saga : « La romance de Laurine » publiée en 2020, j’ai souhaité écrire à nouveau en vers, une grande fresque romancée « La passion d’Antonin ».

 

Elle se situe cette fois au XIXe siècle, mais aussi parallèlement, au XXe en province (Aube-Champagne et Bretagne), à Paris, en Crimée (Turquie, Roumanie actuelle, Russie) ainsi qu’en Angleterre.

 

Sur le même plan que pour Laurine, j’ai conçu cette romance - car c’en est une malgré le choix de son écriture en poèmes - comme se situant essentiellement sous le Second Empire, mais avec de fréquents « retours au présent » ou presque (dans les années 1968/1980), auprès d’Irena et de sa mère Valentine déjà rencontrées auprès de Laurine et de nouveaux personnages, bien entendu !

 

Avec Laurine, je situais principalement l’action dans le Paris de Montmartre de la Belle Époque au dernier conflit mondial en passant par les Années folles. Je me saisissais d’instants et d’évènements (spectaculaires, anecdotiques, historiques, heureux ou tragiques) ayant marqué la vie quotidienne parisienne, renforcés par la publication simultanée d’un petit lexique illustré également publié sur mon blog ; lequel donnait des informations complémentaires à la bonne compréhension du cadre historico-géographique de ma romance.

 

Ce lexique est en version numérique uniquement, et je vous invite à le consulter sur mon blog (adresse donnée ci-après). On trouvera également, outre le sommaire, des repères chronologiques facilitant le suivi des périodes.

 

Avec Antonin, je conserve la même trame d’écriture ; à savoir que chaque poème décrit une situation donnée pour un trait historique particulier. Disons que la nouveauté tient dans un récit qui superpose deux époques en parallèle (le XIXe et le XXe siècle) et qu’elle diversifie bien davantage les lieux.

 

Avec Laurine, l’art s’invitait à Montmartre ou à Montparnasse, dans la vie de bohème des peintres impressionnistes, des poètes et écrivains, mais aussi des compagnons du devoir.

 

Autour d’Antonin, l’art reste bien présent, tout comme le geste des maîtres compagnons verriers et vitraillistes. Il est même une constante de « la passion » qui anime notre héros.

 

On l’aura compris puisque je fais référence à Laurine, cette nouvelle romance s’articule également en six saisons réunissant à chaque fois dix épisodes déclinés en 60 poèmes composés de neuf strophes de quatre alexandrins aux rimes alternées masculines et féminines (croisées). À la différence de Laurine dont la construction s’était établie progressivement, elle bénéficie cette fois et dès le début, de cette composition rigoureuse.

 

J’ai développé davantage de notes de bas de page « numériques », que l’on retrouve au verso de la version « papier », précisant indépendamment du lexique adjacent, la compréhension d’éléments de vocabulaire (bien souvent en rapport avec des métiers), de termes spécifiques, de lieux, etc. dont l’utilité se fait sentir faute de pouvoir comme dans un roman, prendre le temps des descriptions utiles.

 

Ainsi, la poésie se trouve-t-elle libérée de la « pesanteur » d’indications nécessaires à la compréhension du « roman » sans pour autant en souffrir, ni pénaliser le lecteur.

 

Il est un autre fait particulier que je voudrais souligner :

 

J’ai bien évidemment construit le scénario de ma romance avec sa trame, ses personnages, ses évènements et ses lieux historiques consolidés par des recherches préalables, mais cette écriture originale faite en vers m’a autorisé une certaine souplesse d’adaptation.

 

Tout « n’était pas écrit » dès le début, du fait même de la publication du récit sous la forme d’un feuilleton, au rythme d’un poème tous les quinze jours environ.

 

Par cette organisation en saisons et poèmes, mais aussi grâce à la spécificité d’un blog interactif ajoutant la dimension d’un contact rapide et régulier avec mes lecteurs/visiteurs, j’ai pu orienter mon scénario au fur et à mesure de mes publications. Il me semble que c’est là, un avantage considérable que procure l’écriture aussi tôt confrontée à ses lecteurs grâce à la publication en feuilleton « à suivre » sur mon blog ouvert.

 

Alors, il vous reste maintenant à vous familiariser avec Antonin et... sa passion !

 

Antonin est un jeune apprenti verrier que l’on découvre en 1851 à la Manufacture Royale en Cristaux de Bayel (Aube) et que le destin va conduire à traverser le Second Empire. De la guerre de Crimée à la perspective d’un nouveau siècle de progrès, il va mûrir sa passion de l’art et de la vie, le conduisant en Bretagne comme en Angleterre, en attendant de se découvrir une autre passion pour le vitrail et pour... Anne.

 

Je vous souhaite autant de plaisir à feuilleter « La passion d’Antonin » que je n’ai eu de bonheur à la mettre en vers.

 

 

Pierre BARJONET  

Février 2022

 

 

 

https://lapalettedepierre.blog4ever.com

 

 

 

 

 

 

 



04/04/2022
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